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Cette action fait suite à l’événement de jeudi matin. Un détenu a pris en otage une surveillante, avant de la relâcher, 3 heures plus tard.
Ce vendredi, les surveillants "n’en peuvent plus". Contacté par téléphone, Samir Deroui, représentant CGT, explique que "l’administration nous dit de continuer notre travail et notre vie comme si de rien n’était. Mais on n’en peut plus". La soixantaine de surveillants mobilisée ce vendredi dénonce un manque d’effectif, un manque de gestion et une prison en "roue libre".
Le rassemblement se veut pacifique. "A travers cette action, nous voulons marquer le coup et souhaitons nous faire entendre de l’Etat. Nous ne sommes pas de la chair à canon". Samir Deroui ajoute qu’ils ont eu de la "chance", hier, avec une prise d’otage qui se termine bien, mais "peut-être que la prochaine sera plus violente".
Les surveillants se disent prêts à recommencer l’action dans les jours qui viennent, ou à manifester devant la Préfecture de l’Aube si aucune approche ou solution n'est trouvée.
Photos : Samir Deroui
Vos programmes ce jeudi :
L'actualité sur Canal 32 à 18H30, 19H30 etc...
Nuit des Réussites 2023
Les Victoires de l'Aube
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