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Philippe Gélis, gérant et co-fondateur du parc d’attractions Nigloland à Dolancourt était convoqué au tribunal, ce jeudi. L’homme devait répondre de "violences avec préméditation et dégradation légère". Le 16 août dernier, Philippe Gélis était venu dans les locaux du quotidien départemental l'Est-Eclair Libération-Champagne pour "s’expliquer".
Il souhaitait que le journal retire son article intitulé : "Sécurité, la folle rumeur Nigloland". Un article qui démentait une rumeur sur les réseaux sociaux sur un risque d'attentat au sein du parc d’attractions aubois. Le patron de Nigloland souhaitait, en outre, voir disparaître des moteurs de recherche cet article lui causant une importante baisse du chiffre d’affaires (dans les jours suivants la parution, la fréquentation a fortement baissé).
À la barre, Philippe Gélis a reconnu avoir agrippé le journaliste mais dément la préméditation et la violence volontaire. Une préméditation pourtant retenue par le procureur. Cependant aucune peine de prison n’a été réclamée (mais une amende de 10 000 euros). L’avocat de la défense (qui n’a pas souhaité s’exprimer au micro) a dénoncé, entre autres, le manque de rigueur du journal dans son article et surtout dans son titre.
La décision sera rendue le 9 février.
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